Le Conseil Patrimonial
L'optimisation fiscale
On ne le redira jamais assez, optimiser sa fiscalité n’est pas une fin en soi, mais un moyen d’utiliser de la trésorerie économisée afin de développer son patrimoine. Notre but est de réduire votre impôt en le transformant en patrimoine grâce à des leviers juridiques et fiscaux
La maîtrise de la fiscalité est un sujet très sollicité. La seule manière de bien faire est de bien comprendre le patrimoine, les objectifs et l’horizon de placement de nos clients.
Il existe de nombreux dispositifs en France, qu’on appelle niches fiscales et qu’il faut maîtriser. L’immobilier est le véhicule le plus utilisé avec un double effet de levier (fiscal et de crédit). Mais il existe également de nombreuses autres solutions comme la préparation de la retraite en ouvrant un Plan d’Épargne Retraite, l’investissement dans l’économie réelle des DROM-COM grâce au Girardin Industriel (voir notre page dédiéé), le financement des PME françaises non cotées, ou tout simplement la restructuration de votre patrimoine.
La retraite
Prévoir son indépendance financière et ses flux de trésorerie à la retraite : deux points très importants à prendre en considération le plus tôt possible.
En fonction de votre horizon d’investissement, de votre profil de risque, de votre fiscalité et des ressources que vous souhaitez mobiliser, nous pourrons mettre en place les meilleures solutions immobilières et financières adaptées à vos besoins.
De plus, un bilan retraite réalisé par un expert vous permettra de vérifier que l’ensemble de vos droits ont été pris en considération, et d’évaluer le montant de votre future pension retraite afin d’anticiper votre flux de trésorerie.
La transmission de patrimoine
Anticiper la transmission de son patrimoine permet de protéger ses proches et de réduire les droits de succession.
Pour les couples non mariés, la loi ne prévoyant rien, il est indispensable de mettre en place des solutions adaptées (testament, assurance-vie, PACS, organisation des statuts…).
Les couples mariés bénéficient de droits légaux minimaux, comme l’occupation gratuite du logement pendant un an, mais ceux-ci restent souvent insuffisants sans aménagements spécifiques (régime matrimonial, donation au dernier vivant).
Plusieurs leviers juridiques et fiscaux permettent d’optimiser la transmission : clauses bénéficiaires d’assurance-vie avec abattement, démembrement de propriété, SCI ou SARL de famille pour les biens immobiliers, Pacte Dutreil pour la transmission d’entreprise, ou encore apport-cession en holding pour différer l’imposition d’une plus-value.
Les non-résidents
De nombreux français sont tous les ans tentés par une vie professionnelle et personnelle hors de la France. Or peu de non-résidents pensent à organiser leur patrimoine et à prendre leurs dispositions avant, pendant et après la période d’expatriation.
Avant le départ, il est recommandé d’ouvrir un contrat d’assurance-vie ou un PEA en France, de rédiger un testament (et le faire enregistrer dans le pays d’accueil pour garantir la protection des enfants mineurs), et d’informer les services fiscaux et l’assurance maladie (notamment pour accéder à la Caisse des Français de l’Étranger ou au régime des impatriés).
Pendant l’expatriation, une bonne organisation doit prendre en compte les nouvelles dépenses liées à la santé, à la prévoyance, à l’éducation des enfants et à la retraite individuelle, tout en préparant un retour éventuel en France via des investissements immobiliers ou financiers.
Enfin, avant de rentrer en France, il faut veiller à ne pas abandonner d’actifs financiers difficiles à récupérer par la suite, et prendre en compte la devise la plus adaptée selon le pays de retrait, tout en explorant le régime fiscal d’impatriation pour optimiser son retour.
